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LES IDÉES REÇUES.
Vos réactions.

Oui mais vous admettrez que la partie sternale de ces pectoraux travaille en isométrie lors de ces exercices, alors que le développé couché classique ne permet pas un travail suffisant en fin de course.

Le meilleur exercice ayant pour but le travail des faisceaux internes restant à mon humble avis la presse papillon ou la poulie, d'ailleurs pourquoi n'en parlez vous pas, car bien souvent notre morphologie utilise la partie externe des pectoraux(petit pectoral) au détriment de la partie interne.
On perd en uniformité, qu'en pensez vous ?
Vous admettrez que la partie sternale de ces pectoraux travaille en isométrie lors de ces exercices.
C'est effectivement ce que je dis par le fait de maintenir les deux haltères serrés.
Mais cet effort est relativement peu important, autant faire de l'isométrie sans accessoire en appuyant les deux mains l'une contre l'autre au niveau de la poitrine.

Alors que le développé couché classique ne permet pas un travail suffisant en fin de course.
Tout à fait d'accord.

Le meilleur exercice ayant pour but le travail des faisceaux internes restant à mon humble avis la presse papillon ou la poulie, d'ailleurs pourquoi n'en parlez vous pas, car bien souvent notre morphologie utilise la partie externe des pectoraux(petit pectoral) au détriment de la partie interne.

Grave confusion anatomique.

Regardez les points d'insertions du petit pectoral :
    Sur l'omoplate au niveau de l'apophyse coracoïde.
    Sur les côtes au niveau des 3èmes, 4 èmes, 5 èmes côtes.

    Le petit pectoral est un abaisseur des omoplates et non un adducteur du bras comme le grand pectoral.
    Il n'intervient aucunement dans le mouvement du bras.

Cela dit, je trouve le travail aux poulies vis à vis ou à la presse papillon tout à fait complémentaire des écartés couchés.

Les raisons de mon silence en ce qui concerne la presse papillon, j'en avais déjà parlé sur le forum, était que le site à ses début, s'adressait davantage aux personnes s'entraînant chez elles avec un équipement réduit.

Je rajouterais que je n'ai jamais eu à me plaindre du développement de mes pectoraux, et que je n'ai jamais utilisé la presse papillon en raison de la position "ouverte" du bras que je n'apprécie absolument pas.

Rien ne vaut les bons vieux écartés couchés aux haltères courts !